Re-habi(li)ter : notre fil rouge en 2023. Un mot qui aura été revisité pour l’occasion. Au travers de nos actions, nous posons un regard à 360° sur cette thématique qui couvre à elle seule une multitude d’enjeux rencontrés dans le Brabant wallon. Regardons-y de plus près.
S’opposer à un projet immobilier active une série de ressorts psychologiques qui peuvent être parfois considérés comme naturels. Les dynamiques de mobilisation en aménagement du territoire ont en tout cas nettement évolué ces dernières années. Surtout en Brabant wallon.
Le Brabant wallon s’est construit ces dernières décennies autour de lotissements quatre façades. Un consortium d’architectes s’est penché sur les possibles réinventions de ces territoires suburbains, prenant Rixensart comme laboratoire d’expérimentation. Il en ressort quatre récits fictifs pour lancer les réflexions.
La fin de l’étalement urbain s’accompagne d’une densification des centres des villes et villages. Un processus entamé depuis plus de quinze ans en Brabant wallon et qui porte lentement ses fruits, quoi qu’on en dise. Néanmoins, même si les esprits sont plus ouverts qu’auparavant, les freins restent nombreux. Tour d’horizon.
Sensibiliser et mobiliser les habitants autour des réflexions sur la réappropriation spatiale du Brabant wallon : c’est le fondement du projet « Désirs et formes d’habiter ». Celui-ci est né d’une collaboration entre l’Institut Culturel d’Architecture et la Maison de l’urbanisme autour des questions de la réhabilitation territoriale et de la rénovation du bâti.
RER, éoliennes, centre commercial, lotissement : de plus en plus de citoyens ou d’associations s’opposent aux projets développés en Brabant wallon. Une mobilisation qui se structure et dont la caisse de résonance s’accentue. Mais avec quels résultats concrets au final ?
Si la révision du Schéma de développement du territoire (SDT) est adoptée, les schémas de développement communaux vont prendre encore plus d’importance. Seules quatre communes du Brabant wallon ont élaboré un tel outil depuis 2016. De quoi donner pas mal de travail aux quelques bureaux d’études chargés de réaliser ce document.
Comment répondre à ses besoins et ses désirs en matière d’habiter sans compromettre le bien collectif ? Une équation bien compliquée à résoudre. Des habitants de Chaumont- Gistoux se sont penchés sur cette question lors d’ateliers citoyens. Retour sur trois témoignages, fictifs, mais librement inspirés par ces échanges.

dessinateur belge qui illustre Espace-Vie

Un pont construit au milieu de nulle part. L’édifice, installé à quelques centaines de mètres de la E411, est planté là, au milieu des champs. Il devait être un maillon du contournement de Perwez. Sauf que le projet a été abandonné.

Retrouvez tous les anciens numéros de la version papier d’Espace-vie sur notre
bibliothèque en ligne